[Sourate 111 Al-Masad : Versets 1 – 5]
Que périssent les deux mains d’Abû-Lahab et que lui-même périsse.
Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu’il a acquis.
Il sera brûlé dans un Feu plein de flammes,
de même sa femme, la porteuse de bois,
à son cou, une corde de fibres.